JEAN DE SAGAZAN
Il y dans ces quelques œuvres du jeune peintre un rappel de ce que Gerhard Richter dit de sa relation à la photographie, qui en le déchargeant du motif, de la subjectivité lui permets de ne s’attacher qu’à peindre.
Mais la tentation de l’hyperréalisme chez Jean de Sagazan semble s’arrêter là, au même titre que chez Richter. Il altère
tout de suite l’imitation par un léger flou, une touche évidente et des couleurs froides, passées, presque synthétiques.
Une œuvre mystérieuse en gestation, oscillant entre photographie et ambiances cinématographiques qui trouvent probablement ses filiations conscientes ou pas chez Richter, Hockney et par les cadrages, l’aspect narratif la Nouvelle Figuration.
Un artiste à suivre de près.
Le site de l'artiste.
Le salon de Montrouge 2015.
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